Sortie au théâtre « Les Fourberies de Scapin »
9 décembre 2009 par L'Equipe d'Animation
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Le samedi 5 décembre 2009, dans le cadre du téléthon une sortie au théâtre du Cormier à été organisée:
« Les Fourberies de Scapin »
Albert, le directeur de la Villa nous a accompagnés en minibus.
Arrivée au théâtre du Cormier, à Cormeilles en Parisis.
Les résidents ont apprécié cet après-midi au théâtre et étaient ravis d’être au première loge.
Les Fourberies de Scapin, est une comédie de Molière en 3 actes et en prose; créée au Théâtre de la salle du palais royal, le 24 mai 1671. Venant juste après les créations de pièces plus sombres comme Tartuffe ou Don Juan, cette comédie de Molière est fortement empreinte de comédie Italienne. Le spectacle n’obtient pas alors un grand succès public.
En 2009, la compagnie des Jeun Pouss décide de la présenter au théâtre de Cormeilles.
Résumé
En l’absence de leurs pères partis en voyage, Octave, fils d’Argante et Léandre, fils de Géronte, se sont épris l’un de Hyacinte, jeune fille pauvre et de naissance inconnue qu’il vient d’épouser , le second de la « jeune Égyptienne » Zerbinette.
Au retour d’Argante, Octave, très inquiet de la réaction paternelle à l’annonce de son union et, de plus, fort à court d’argent, implore l’aide de Scapin, valet de Léandre. Mais cet « habile ouvrier de ressorts et d’intrigues » ne parvient pourtant pas à faire fléchir le vieillard.
Argante répète à Géronte la nouvelle qu’il tient d’une indiscrétion de Scapin : Léandre a commis une grave erreur. Aussi le jeune homme, fort mal accueilli par son père, corrige vertement le valet pour sa trahison. Mais il quitte bientôt son ressentiment pour le supplier de lui venir en aide : il lui faut payer une rançon pour Zerbinette s’il ne veut pas la voir enlevée par les Égyptiens.
Par de hardis stratagèmes, l’inventif Scapin ne tarde pas à extorquer la somme aux deux vieillards. Mais Scapin entend encore se venger de Géronte qui l’a desservi auprès de Léandre. Aussi lui fait-il croire qu’un prétendu frère de Hyacinte est à sa poursuite, résolu à lui ôter la vie pour le punir de vouloir faire rompre le mariage. Afin de le soustraire à ce danger, Scapin cache sa victime dans un sac, et lui donne de violents coups, feignant l’impossibilité pour lui de laisser le frère vérifier si personne n’y est caché … Le coupable aurait cher payé ses fourberies si une double reconnaissance n’eût révélé en Hyacinte la fille perdue de Géronte, et en Zerbinette celle d’Argante.
Scapin, qui simule sa mort par suite d’un accident, demande le pardon des vieillards.